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| Transmission d'entreprises : assouplissement de certains engagements de conservation de titres »
- Parmi les mesures adoptées, retenons que le taux d'imposition des plus-values
mobilières est porté de 16 % à 18 % et que le seuil d'imposition est relevé de
20 000 à 25 000 euros.
- En
outre, en ce qui concerne les dividendes d'actions, les contribuables pourront
soit continuer à les déclarer au titre de l'impôt sur le revenu, soit opter
pour un prélèvement forfaitaire libératoire de 18%.
- Par
ailleurs, le texte fixe, pour la première année de remboursement, le taux du crédit
d'impôt sur le revenu au titre des intérêts d'emprunts supportés pour
l'acquisition ou la construction d'un logement affecté à l'habitation
principale à 40%. Celui-ci reste fixé à 20% pour les 4 années suivantes comme
le prévoyait la loi sur le travail, l'emploi et le pouvoir d'achat, dite loi
"TEPA" dans son "paquet fiscal".
- Enfin,
un autre amendement, reprenant une mesure du "paquet fiscal" voté en
juillet dernier, prévoit que l'exonération de l'ISF pour les personnes
investissant, pour une durée d'au moins 5 ans dans une PME, bénéficiera aussi
aux chefs d'entreprise ou à leurs proches qui réinvestissent dans leur propre
société.
- Concernant
les entreprises, retenons qu'une mesure réforme le dispositif du crédit d'impôt
recherche, permettant ainsi de le rendre plus incitatif.
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